Historique
Suite à l’appel de Madame Nkosazana Dlamini-ZUMA, alors Présidente de la Commission de l’Union Africaine lors de la cérémonie d’ouverture de l’Atelier des experts de l’économie bleue qui s’est déroulé du 20 au 21 Janvier 2017 à Addis Abeba (Ethiopie) au siège de l’Union Africaine, les jeunes leaders africains experts dans divers secteurs de l’économie bleue ont en marge de cette rencontre de haut niveau, organisé l’Assemblée Générale Constitutive de ‘’African Youth Organization for the Blue Economy’’ en anglais ou ‘’Organisation Panafricaine de la Jeunesse pour l’Economie Bleue’’ en français. Cet appel rappelait que l’Union Africaine avait dédié l’année 2017 à la jeunesse africaine en la plaçant sous le thème « Tirer pleinement profit de la dividende démographique en investissant dans la Jeunesse » tout en invitant par la même occasion les jeunes leaders africains à prendre des initiatives pour le développement de l’économie bleue.
L’OPJEB est une organisation continentale à but non lucratif dont le champ d’action couvre les cinquante-quatre (54) pays membres de l’Union Africaine et la diaspora africaine hors du continent qui joue le rôle d’une organisation qui sensibilise, incite à la prise de conscience, pousse à l’action, participe à l’action et s’assure de la prise en compte des préoccupations de la jeunesse africaine pour un développement durable et inclusif du continent africain.
L’Organisation Panafricaine de la Jeunesse pour l’Economie Bleue est enregistrée sous le N°0131/MATDCL-SG-DLPAP-DOCA au TOGO.
Le siège continental est basé à Souza-Nétimè, 104, Rue OCAM, Lomé.
Faut-il le souligner, l’Afrique est confrontée à d’immenses défis que sont la démographie, le chômage des jeunes, la caducité des modèles économiques… Selon l’Organisation Internationale du Travail (OIT) qui est une agence des Nations Unies, l’Afrique compte 200 millions d’habitants âgés de 18 à 24 ans, soit 40% de la population active. Le taux de chômage parmi cette population est le double de celui des adultes. Ces jeunes sans perspectives professionnelles constituent, aux yeux des analystes de l’OIT, une « génération perdue, menaçant la cohésion sociale ». Selon une enquête réalisée par la Banque Mondiale, environ 40% de ceux qui rejoignent des mouvements rebelles et terroristes seraient motivés par le manque d’emplois.
Les modèles économiques hérités de la période coloniale ou de l’époque des programmes d’ajustement structurel ont montré totalement leurs limites. Face à l’explosion démographique et le chômage qui touche de plein fouet la jeunesse africaine, les Etats africains ont l’historique responsabilité de s’affranchir de ces modèles en changeant de paradigme vers un modèle économique nouveau, porteur d’espoir et d’espérance pour le continent et sa jeunesse. Le modèle économique basé sur la croissance inclusive de l’économie bleue se révèle comme une alternative crédible pour faire face aux défis actuels du continent africain.
Il est fondamental que la jeunesse africaine joue sa partition afin de changer la donne. Elle doit influer sur les décisions des Gouvernements et des institutions à travers des plaidoiries et des sensibilisations afin de rappeler constamment à tous l’urgence de la situation et la nécessite d’agir rapidement pour relever les défis et se saisir des opportunités. C’est le rôle des Nations Unies, des Organisations régionales, sous-régionales mais c’est aussi celui de la société civile, des ONG, des associations et surtout de la jeunesse.
L’OPJEB est une organisation continentale à but non lucratif dont le champ d’action couvre les cinquante-quatre (54) pays membres de l’Union Africaine et la diaspora africaine hors du continent qui joue le rôle d’une organisation qui sensibilise, incite à la prise de conscience, pousse à l’action, participe à l’action et s’assure de la prise en compte des préoccupations de la jeunesse africaine pour un développement durable et inclusif du continent africain.
L’Organisation Panafricaine de la Jeunesse pour l’Economie Bleue est enregistrée sous le N°0131/MATDCL-SG-DLPAP-DOCA au TOGO.
Le siège continental est basé à Souza-Nétimè, 104, Rue OCAM, Lomé.
Faut-il le souligner, l’Afrique est confrontée à d’immenses défis que sont la démographie, le chômage des jeunes, la caducité des modèles économiques… Selon l’Organisation Internationale du Travail (OIT) qui est une agence des Nations Unies, l’Afrique compte 200 millions d’habitants âgés de 18 à 24 ans, soit 40% de la population active. Le taux de chômage parmi cette population est le double de celui des adultes. Ces jeunes sans perspectives professionnelles constituent, aux yeux des analystes de l’OIT, une « génération perdue, menaçant la cohésion sociale ». Selon une enquête réalisée par la Banque Mondiale, environ 40% de ceux qui rejoignent des mouvements rebelles et terroristes seraient motivés par le manque d’emplois.
Les modèles économiques hérités de la période coloniale ou de l’époque des programmes d’ajustement structurel ont montré totalement leurs limites. Face à l’explosion démographique et le chômage qui touche de plein fouet la jeunesse africaine, les Etats africains ont l’historique responsabilité de s’affranchir de ces modèles en changeant de paradigme vers un modèle économique nouveau, porteur d’espoir et d’espérance pour le continent et sa jeunesse. Le modèle économique basé sur la croissance inclusive de l’économie bleue se révèle comme une alternative crédible pour faire face aux défis actuels du continent africain.
Il est fondamental que la jeunesse africaine joue sa partition afin de changer la donne. Elle doit influer sur les décisions des Gouvernements et des institutions à travers des plaidoiries et des sensibilisations afin de rappeler constamment à tous l’urgence de la situation et la nécessite d’agir rapidement pour relever les défis et se saisir des opportunités. C’est le rôle des Nations Unies, des Organisations régionales, sous-régionales mais c’est aussi celui de la société civile, des ONG, des associations et surtout de la jeunesse.